@Author ?
En discutant de l’intérêt de l’usage de la javadoc, question primordiale il faut l’avouer, nous avons dérivé sur un sujet encore plus intéressant : l’utilité de la balise @Author dans la javadoc :p Meme si sur Twitter, le @Author est considéré comme inutile, quasiment à l’unanimité, ce n’est pas le cas partout.
Le pour
– Je suis auteur de mon code, je l’assume et je l’écris de manière professionnelle en pensant à ceux qui vont me lire. C’est une idée que partage Robert C. Martin.
The @author field of a Javadoc tells us who we are. We are authors. And one thing about authors is that they have readers. Indeed, authors are responsible for communicating well with their readers. The next time you write a line of code, remember you are an author, writing for readers who will judge your effort.
– Surtout dans l’open-source, cela permet de laisser une trace de son investissement. Voir de se faire un nom.
– Il peut contenir l’adresse d’une mailing-list, ce qui permet, lors d’une question sur une classe de contacter directement les personnes responsables.
Le contre
– DRY : don’t repeat yourself : l’information est déja présente dans le SCM (git, svn ..).
– Le code appartient à tous : le @author doit donc etre collectif.
– Si il ne contient que l’auteur initial, celui-ci ne vaut pas plus que les autres.
– évite la sacralisation d’un unique développeur
– Pose le problème de savoir quand on doit se rajouter dans la balise @author.
Je laisse à Emmanuel Bernard le tweet de la fin :

Merci à Sébastien PRUNIER @sebprunier, Pierre TEMPLIER @ptemplier, Emmanuel LECHARNY, François Sarradin @fsarradin, Guillaume LOURS @guillaumelours, Jean-Laurent Morlhon @morlhon, Arnaud Héritier @aheritier , Sébastien Deleuze @sdeleuze , Yannick AMEUR @yannickameur , Robin Komiwes @robinkomiwes , Jollivet Christophe @jollivetc , Jérémy Sevellec @jsevellec, Julien Jakubowski @jak78 , Nicolas De loof @ndeloof, Nicolas François @nicofrancois , Francois Marot @FrancoisMarot , Jean Helou @jeanhelou, Benoît Dissert @bdissert , Olivier Jaquemet @OlivierJaquemet , Aline Paponaud @bootis , Benoît Dissert @bdissert , Nicolas Delsaux @riduidel et aux autres …

. Cet article ne reprends qu’une partie du talk: les points que j’ai pu rencontrer en entreprise.
Rien de prévu mardi prochain ? Rejoignez nous pour la première de la marmite, LA soirée récurrente des duchesses ! J’aurais l’occasion d’animer avec Brice Dutheuil, commiter Mockito, un
Comme beaucoup, il y a eu le passage « classique » en SSII. Pendant 2 ans, j’ai eu l’occasion de rencontrer quelques freelances qui avaient l’air plutôt satisfait. Je me disait qu’ils avaient de la chance et que j’aimerai moi aussi, être indépendante. Tous étaient très expérimentés. Je me disais que j’étais trop jeune et que finalement, la situation de salariée en SSII était confortable. Elle permet à la fois de parfaire mes connaissances techniques et de prendre des contacts durant les missions sans stress.

L’article précédent a permis de comparer la syntaxe des trois frameworks sur les cas classiques. Un cas où Spock se détache vraiment des deux autres frameworks, c’est sur la gestion des arguments des méthodes mockées.




EasyMock est un framework de test qui peut dérouter dans un premier abord. Une fois qu’on a compris comment l’utiliser, on tombe sur un certain nombre d’erreurs qui reviennent très souvent et qui ne sont pas souvent explicites. Même si EasyMock 3.0 a clarifié un certain nombre d’erreurs, cet article (fait sous la 2.5.2) servira de pense-bête à ceux qui débutent avec ce framework. 
