[Blog] du Java et du Freelance » Freelance https://java-freelance.fr Vis ma vie de freelance java : techno et entreprise Mon, 12 Oct 2015 14:45:01 +0000 fr-FR hourly 1 http://wordpress.org/?v=4.2.7 Comment gagner 6000€ par mois en étant développeur ? https://java-freelance.fr/freelance/comment-gagner-6000e-par-mois-en-etant-developpeur https://java-freelance.fr/freelance/comment-gagner-6000e-par-mois-en-etant-developpeur#comments Wed, 03 Sep 2014 13:48:51 +0000 https://java-freelance.fr/?p=1677 moneyjavaOn l’a déjà dit (discrètement) ici : Siffler en travaillant  mais je pense qu’il faut arrêter d’être discret quand les développeurs partent dans la Silicon Valley pour l’argent alors qu’on peut rester en France et vivre très bien aussi ! Et quand je dis très bien, je veux dire : vraiment très bien. En doublant nos revenus, on ne double pas simplement notre pouvoir d’achat, mais on le multiplie par 10 !

Prenons un exemple simple, tu es développeur Java junior à Paris, Tu gagnes environ 2500€ net par mois. Pas mal ! Mais après avoir payé ton loyer parisien, ton abonnement de transport, tes impôts, tes courses et les billets de trains pour aller voir Maman de temps en temps, il te reste combien ? 200€ 300€ ? Imagine maintenant que tu gagnes 5000€ net par mois. Tu vas payer plus d’impôts certes mais grosso modo, il te restera tout de même environ 2500€ à la fin du mois, soit 10x plus qu’avant. Rien que ça. Et pour l’avoir vécu, c’est juste énorme. Et non, je crois que tu ne te rends pas compte. Tu ne te rends pas compte de ce que c’est de ne pas savoir combien t’ont coûté tes courses, de répondre tout le temps « bof, ça va » quand quelqu’un te dit « Mais c’est super cher ! » ou encore de regarder ton compte en te disant « Mais pourquoi j’ai autant d’argent ? »

Oouhaa ouhaaa…. cool alors c’est quoi la recette miracle ? Elle est très simple : passer freelance. Tu peux calculer tes futurs revenus sur la Calculatrice freelance ou à la suite en fonction de ton expérience :

  • Débutant : Ancien salaire net moyen : 2000€. Tarif journalier moyen : 320€ (=4000€ net de revenus en indépendant)
  • Junior : Ancien salaire net moyen : 2500€. Tarif journalier moyen : 400€ (=5000€ net de revenus en indépendant)
  • Expérimenté : Ancien salaire net moyen : 3000€. Tarif journalier moyen : 500€ (=6000€ net de revenus en indépendant)

Bien évidemment je compare ce qui est comparable, les montants donnés sont bien ceux que tu indiqueras dans la case « Traitements et salaires » de ta déclaration de revenus. Et en plus la réalité est encore plus drôle pour le freelance, mais n’en rajoutons pas avec cet iPhone 6 à 900€ que tu vas payer hors taxes et hors charges via ta société sous prétexte que tu expérimentes le développement mobile.

Vous en doutez ? Et vous avez raison, les freins psychologiques sont nombreux au passage en freelance : Comment trouver un client ?  Et si le client refuse de me payer ? Et la comptabilité ? Je me suis posé les mêmes questions ! Et je peux vous rassurer tout de suite, toutes les personnes que je connais qui ont eu la folie d’y aller vous diront pareil que moi : C’est plus simple que ce qu’on s’imagine et plus jamais je ne ferai marche arrière ! Comme toi, nous étions (et sommes restés) simplement développeur sans autre compétence que celle de savoir coder.

 

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Trouver un freelance https://java-freelance.fr/freelance/trouver-un-freelance https://java-freelance.fr/freelance/trouver-un-freelance#comments Mon, 24 Jun 2013 22:15:00 +0000 https://java-freelance.fr/?p=1633 hopwork-logoJe me rends compte que je n’ai encore pas fait d’article sur le projet que me prend 90% de mon temps ces derniers temps : Hopwork.

Sérieusement, on est en train de révolutionner le monde des intermédiaires sans foi ni loi. En quelques mots :

  1. Le site est entièrement gratuit tant qu’on n’a pas un devis accepté.
  2. La commission est 3 fois moins importante qu’un intermédiaire classique (moins de 10% pour Hopwork contre 15%-25% actuellement)
  3. On peut contractualiser en direct (ou pas, à vous de choisir)
  4. Les freelances sont « approuvés » par leurs pairs et par leurs clients

 

Pas de ticket d’entrée

Non mais allô quoi, payer pour chercher un développeur ou une mission alors qu’on n’est pas sûr de trouver un deal ? Ça gave ! Hopwork prend clairement le modèle d’Airbnb, on cherche autant qu’on veut, on ne paye que si on trouve !

Commission raisonnée

Quand un intermédiaire classique prend facilement 20% si ce n’est plus, Hopwork ne prendra que 9% sur des missions courtes et ce sera bientôt dégressif en fonction du volume. Quoi de plus logique ? On paye la mise en relation, c’est ce qui a le plus de valeur, ensuite on paye le service (facturation, paiement, litige, recommandations clients etc.)

Contractualisation en direct

Là aussi, franchement en tant que freelance, je ne veux pas avoir une 3ème personne dans la relation, qui a des intérêts potentiellement divergents des miens. Et pour le client qui souhaite pouvoir parler à quelqu’un d’autre que le freelance pour des raisons qu’on peut imaginer aisément (notamment en cas de litige), le service client d’Hopwork est là pour ça !

Freelances approuvés

En plus de la localisation, le moteur de recherche met en avant les freelances qui ont le plus de recommandations et le plus de commentaires satisfaisants des clients. Un gage de sécurité pour le client et un bon moyen de se mettre en avant et d’augmenter son business pour les meilleurs d’entre nous !

Garantie de paiement

Pour les missions courtes, le client déposera un acompte sur un compte de séquestre. Pour une mission longue, Hopwork se chargera du recouvrement. Zéro tracas, Zéro blabla pour reprendre une pub bien connue :)

Nouveaux clients

Les clients sont souvent verrouillés par les SSII et autres intermédiaires (qui en profitent bien en passant pour faire de belles marges mais passons). Hopwork déverrouille ces clients en ce faisant référencer pour vous. Et va même plus loin en entrant chez certains clients réputés pour ne pas prendre de freelances ! Et n’oubliez pas, vous contractualisez avec le client, ouf non ?

Elle est où l’arnaque ?

L’astuce est dans le contrat que vous faites avec Hopwork, en vous inscrivant sur Hopwork, vous vous engagez à payer la mise en relation à Hopwork. Hopwork vous enverra une facture pour chaque mise en relation.

Quoi encore une facture à payer ? relou !!

Non pas relou, le client vous paye en passant par la plateforme de paiement Hopwork. (Virement ou CB) Ensuite Hopwork vous envoie votre part défalqué de la commission. Comptablement vous avez fait 100% du CA et payé une prestation de mise en relation. Toutes les factures sont générées et disponibles à tout moment. Vous n’avez rien de fait de plus que d’habitude. : Zéro tracas, Zéro blabla !

Alors, bonne idée ? Allez-vous nous rejoindre sur Hopwork et participer à l’aventure ?

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Siffler en travaillant https://java-freelance.fr/freelance/siffler-en-travaillant https://java-freelance.fr/freelance/siffler-en-travaillant#comments Mon, 28 Feb 2011 17:00:22 +0000 https://java-freelance.fr/?p=1137 Au commencement…

Comme beaucoup, il y a eu le passage « classique » en SSII. Pendant 2 ans, j’ai eu l’occasion de rencontrer quelques freelances qui avaient l’air plutôt satisfait. Je me disait qu’ils avaient de la chance et que j’aimerai moi aussi, être indépendante. Tous étaient très expérimentés. Je me disais que j’étais trop jeune et que finalement, la situation de salariée en SSII était confortable. Elle permet à la fois de parfaire mes connaissances techniques et de prendre des contacts durant les missions sans stress.

Et puis la chute

Lassée d’être un numéro dans une SSII à taille humaine mais pas vraiment humaine, je me suis laissée tenter par une plus petite structure, seulement quatre personnes. Leur politique se rapprochait de ce que vit un indépendant avec une rémunération variable, indexée sur le prix de vente au client. Le problème d’une petite SSII, c’est qu’on est vendu par une SSII, à une SSII, qui nous place chez un client. Et quand on veux prendre des vacances, il faut demander à 4 personnes…
Finalement placée après 2 semaines de négociation avec les différents interlocuteurs, il était clair que le projet sur lequel je devais travailler ne démarrerait jamais et que je ferais un peu de tout mais rien de ce qui était prévu au départ. Après la ritournelle habituelle des ‘attends au moins 3 mois’ qui se transforment souvent « en attends encore 3 mois de plus », je me suis dit qu’il serait plus facile de sortir de mission si j’en trouvais une autre par moi même.

La surprise

Assez bizarrement, malgré moins de 2 ans d’expérience et en pleine crise mondiale (Avril 2009), j’ai trouvé une mission en moins de 24H. Si moi, pas commerciale pour un sou, je trouvais une mission en moins de 24h, pourquoi continuer à dépendre d’autres personnes pour le faire ? J’ai donc démissionné pour me mettre à mon compte.

Le choix ne fut pas facile pour autant : moi aussi, j’avais un crédit immobilier, sans compter les crédits à la consommation et également un enfant et un conjoint avec une situation pas plus stable que la mienne.
Avec le recul, je me rend compte que tout ça n’est pas un problème, les freelances ont la même vie -ou presque) que les salariés,  on a les mêmes contraintes familiales et financières.

Se lancer en tant qu’indépendant est donc uniquement choix : pas de la chance et encore moins du courage. Les contraintes financières ne sont pas un frein dans la grande majorité des cas, et surtout pas pour les juniors, qui n’ont souvent ni famille ni crédit sur les bras.

Et puis, je ne savais pas comment créer une entreprise. En fait, il n’y a rien à faire. Il faut juste trouver une expert comptable et déléguer tout, absolument tout, pour se concentrer sur l’important : son propre métier. Techniquement, ce n’est pas difficile, une lettre de démission et un rendez d’une demi journée chez l’expert comptable et le banquier (pour ouvrir le compte de l’entreprise, pas pour demander la permission !).

Gagner plus ? C’est tout ?

Le premier mythe de mon indépendance a été de croire que l’indépendance c’était uniquement gagner plus. C’est vrai, on gagne plus, j’ai doublé mon revenu net par mois. Mais être picsou, c’est loin d’être mon but dans la vie. Je suis bénévole dans plusieurs associations, ce qui m’occupe entre 3 et 4 jours par mois.  J’ai toujours envie de tester les nouvelles technos. J’ai 2 enfants, et comme tout le monde, je n’ai que 24 heures dans une journée.

Et c’est là où il y a eu un changement. J’ai regardé autour de moi. Et j’ai vu :

  • Des indépendants picsou, qui bossent un max sans prendre de vacances pour s’arrêter à 35 ans et vivre de leurs rentes. En tant qu’indépendant, on est bien plus maître de son temps de travail. Plus d’obligation de prendre tous ses congés restant au mois de mai, vous gérez votre temps.
  • Des indépendants qui préfèrent les missions courtes : le temps entre 2 missions leurs sert à se former, à chercher des clients, mais également à retaper leur maison ou à profiter de la neige. L’intercontrat n’est plus quelque chose de négatif, vous n’êtes plus ‘inactif’, vous pouvez planifier et anticiper vos intercontrats. Et surtout, vous ne vous sentez pas obliger d’accepter une mission.
  • Des indépendants qui profitent de la proximité avec le client pour pouvoir négocier plus facilement quelques journées en télétravail contre réduction tarifaire. Ou qui, lorsque le client n’a plus qu’un budget de 3 mois, négocient de rester 6 mois à mi-temps. Être indépendant, c’est également avoir des possibilités de négociation bien plus importante avec le client et donc avoir accès à des aménagements du temps de travail qu’un commercial de SSII n’obtiendrait jamais.
  • Des indépendants qui prennent le temps de tester des technos et de partir se former un peu partout, sans limite de temps. Ou qui développent et lancent des projets persos ou Open-Source. Qui écrivent des livres etc …

Et moi et moi ?

J’ai décidé en 2010 de me mettre à mi-temps. Non pas de travailler 1 jour sur 2, c’est assez difficile de trouver des clients qui acceptent ça, mais avoir des intercontrats de plusieurs mois entre 2 missions. Fini le temps de courir. J’ai pu enfin me plonger dans le code source de différents frameworks, lancer mon propre projet, Ensemble-Donnons, qui permet aux petites et moyennes associations de récolter en ligne des donations. Et me former, et profiter de mes enfants.

Prendre sa vie en main

Finalement, être indépendant, ce n’est ni risqué ni difficile. C’est un choix, un choix que même une femme sans expérience peut faire et que vous pouvez faire. Ce choix c’est choisir de pouvoir choisir la façon dont vous voulez travailler. Il faut bien comprendre que plus il a d’intermédiaires qui décident de votre vie, moins vous aurez d’influence. L’intérêt de votre commercial et de votre patron c’est vous leurs rapportiez un maximum d’argent et donc vous placer le plus vite possible même si la mission ne correspond pas vraiment à vos attentes.

Alors, allez-vous finalement prendre vous aussi votre vie en main ?

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Revue de presse https://java-freelance.fr/web/revue-de-presse-2 https://java-freelance.fr/web/revue-de-presse-2#comments Sat, 27 Mar 2010 22:29:33 +0000 https://java-freelance.fr/?p=480 Voici une liste des liens qui nous ont intéressés récemment :

Le domain driven design « Vite fait » : 80 pages pour changer votre vie. Ou plutôt changer votre façon d’écrire vos modèles métiers.

Cours sur la concurrence : Une piqure de rappel ne fait pas (de) mal.

Développer avec Comet et Java : Vous rêver d’envoyer des informations au navigateur en mode « push » ? Voici la solution.

Algodeal: Pour tous ceux qui aime inventer des algos, voici une occasion de faire fortune en s’amusant (et en java)  !

Les castcodeurs : Episode spécial « Freelance » avec Mathilde ! A écouter absolument si vous souhaitez vous mettre indépendant !

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Les indépendants ne savent pas compter https://java-freelance.fr/freelance/les-independants-ne-savent-pas-compter https://java-freelance.fr/freelance/les-independants-ne-savent-pas-compter#comments Thu, 24 Dec 2009 13:03:51 +0000 https://java-freelance.fr/?p=250 C’est malheureux, mais j’ai discuté récemment avec un indépendant qui m’a démontré par A+B qu’entre le statut de TNS et celui de salarié, il pouvait ne pas y avoir de différence en terme de taux de cotisations obligatoires.

Voici son calcul de charges obligatoires :

TNS RSI (Commerçant / Artisan) :  45,2 %

TNS Prof. Libérale : 33%

Salarié : 22% de cotisations salariales et 30% de charges patronales donc : charges = 50%.

Vu comme ça, et étant donné la différence de prestation entre un salarié et un TNS (indemnités journalières, retraite, chômage..), il est plus souvent avantageux d’être salarié, voir complétement préférable pour un artisan au RSI.

Où est l’erreur ?

Alors pourquoi tout le monde ne se met pas salarié ? Les solutions pour le faire sont pourtant multiples ! L’erreur est simple, les taux sont corrects mais la base de calcul n’est absolument pas la même.

Pour le régime salarié, on applique les taux sur le brut versé alors qu’en TNS on applique le taux sur le net versé.

Petit rappel mathématique : y * taux = x  n’est pas égal a x * taux = y.

D’un coté on a brut * (1-taux) = net

de l’autre coté on a : net * (1 + taux) = brut (<=> net = brut * (1/(1+taux)) )

Jusqu’à preuve du contraire 1/(1+taux) n’est pas égal a (1-taux). On compare donc des choux et des carottes.

Pour être plus clair, voici un tableau comparatif avec des exemples facile à comprendre :

charges-sociales1

Attention, les taux ne sont qu’un ordre de grandeur, en réalité cela varie un peu en fonction des situations.

La comparaison entre salarié et TNS pour un indépendant en informatique, donc en profession libérale, se fera  soit en comparant 81% à 33%  de charges sur le net,  soit en comparant 45% à 25% de charges sur le brut.

En passant, attention au simulateur que l’on trouve sur http://www.freelance-info.fr, il est faux pour les mêmes raisons. Utilisez plutôt notre simulateur.

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Un vent de reprise ? https://java-freelance.fr/freelance/un-vent-de-reprise https://java-freelance.fr/freelance/un-vent-de-reprise#comments Thu, 29 Oct 2009 05:33:59 +0000 https://java-freelance.fr/?p=186 Depuis le début de la crise économique mondiale, certains clients finaux ont massivement épuré leurs prestataires et ont imposé des baisses de tarif importantes. Résultat : plus de prestataires et moins de mission, loi de l’offre et la demande oblige, les prix ont chutés d’environ 10%.

Pour ceux qui ont la chance d’être resté en mission ou qui n’ont pas vu leur tarif baisser, ce n’est pas le moment changer. Et pour ceux qui ont subit, le risque est de continuer à subir quand le marché aura reprit. Alors comment avoir une vue globale sur le marché de la prestation Java en France ?

Personnellement j’utilise le baromètre du site hitechpros.com. Apprendre à décrypter ce baromètre permet de se faire une idée des tendances du marché.

hitech2009

Comment décrypter ces données ?

Premièrement, ignorer les pourcentages, ils correspondent aux ratios entre les différentes technologies. Cela n’a aucun intérêt, si ce n’est de savoir que les nouvelles technologies sont plus demandées que le reste…

La courbe bleue correspond aux offres de missions (demandes des clients), ramenée a 100% elle sert de base. La courbe rouge correspond aux prestataires disponibles (offres de SSII). Donc plus la courbe rouge baisse, mieux c’est. Pour le mois de septembre, on voit clairement que le ratio offres / demandes se rapproche de plus en plus du ratio pré crise. C’est un premier indicateur qui indique simplement que le marché s’équilibre. Cela ne veut pas dire qu’il y a un plus grand choix de mission, ni que la crise est terminée mais simplement que pour le mois en cours, il y a eu 242 missions pour 457 prestataires. On en déduit qu’il faut théorique au maximum 2 mois pour trouver une mission et en moyenne 1 mois.

Ce ratio baisse aussi si les SSII ont moins d’intercontrat. Et vue qu’elles ont stoppées les recrutements, il est mécanique qu’il baisse. Les jeunes diplômés payent aussi pour cette crise.

Pour se faire une idée de l’évolution réelle de la demande il faut donc jeter un oeil aux mois précédents. Il y avait 255 missions en Septembre, 119 en Août et autour de 200 les mois précédents. Août est traditionnellement peu dynamique;nous l’ignorons donc. Les demandes étaient donc d’environ 200 par mois pendant la crise. Si le nombre d’offres continue de progresser on peut s’attendre à un retour à des tarifs décents.

Voici mon analyse :

– Actuellement le nombre d’intercontrat baisse fortement et les clients commencent à avoir du mal à trouver des ressources. Les indépendants trouvent facilement des missions mais mal payées.

– Si la tendance se confirme, les SSII vont recommencer à recruter afin de répondre aux exigences des clients, les débutants et chômeurs vont réussir à trouver du travail mais moins bien payé qu’avant 2007, car les tarifs n’auront pas encore remontés.

– Lorsque le vivier d’inter-contrats et de jeunes diplômés sera absorbé, le prix commenceront à remonter et les salaires feront de même. Il sera temps pour les indépendants de profiter de cette dynamique avant la prochaine crise.

Pour conclure, n’oubliez pas que le meilleur moyen de rester employable, crise ou pas crise est de se former ! En mission comme à la maison ou en dehors. Ainsi que de bien choisir ses missions !

Et vous comment vivez vous ou avez vous vécu cette crise ? Quelle est votre stratégie pour les mois à venir ?

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Être heureux dans son travail https://java-freelance.fr/freelance/etre-heureux-dans-son-travail https://java-freelance.fr/freelance/etre-heureux-dans-son-travail#comments Fri, 04 Sep 2009 21:27:33 +0000 https://java-freelance.fr/?p=133 Il n’y a pas que l’argent qui fait le bonheur ! Oui je sais ce n’est pas exactement le bon proverbe. Alors pour être heureux dans son job finalement c’est simple :

happy-job

Faire ce qu’on a envie de faire et que l’on sait bien faire… à condition que ce soit monétisable (…).

Je suis resté pas mal de temps à regarder ce schéma et à réfléchir aux actions à mettre en place pour « monétiser ce que je sais faire et que j’ai envie de faire » et pour « progresser sur ce que je veux faire et qui est monétisable mais que je ne maitrise pas ». Que du bon sens mais je trouve utile d’avoir un schéma simple pour stimuler la réflexion.

source

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Retour sur 4 mois de « Freelance » https://java-freelance.fr/freelance/retour-sur-4-mois-de-freelance https://java-freelance.fr/freelance/retour-sur-4-mois-de-freelance#comments Tue, 11 Aug 2009 18:06:17 +0000 https://java-freelance.fr/?p=108 bonheur2

Dans 4 jours, cela fera 4 mois que je suis « libre », ou plutôt devrait je dire « nous » car nous sommes 2 à avoir changé de statut en même temps. C’est l’heure de faire un premier bilan sur ce qui a changé dans nos vies.

  • Malgré la crise, nous avons trouvé une mission avant la fin de nos préavis, avec au final moins d’une semaine d’inter-contrat chacun. Et pourtant, nous n’avons que peu d’expérience : respectivement 3 et 4 années. Nos profils sont « standards » mais avec Internet, les sites de missions pullulent et le temps où il fallait être « connu », voir « reconnu » pour trouver une mission est bel et bien révolu.
  • La création ensuite. Le choix, soit disant plus compliqué de l’EURL c’est révélé être d’une extrême simplicité. Tous les documents-types sont disponibles sur Internet et les démarches faisable à distance.
  • Au quotidien, rien n’a changé ou presque. Les missions sont du même type qu’en étant en SSII, notre métier n’a pas changé. Il n’y que quelques petites paperasseries en plus : les factures et les notes de frais à la fin du mois. Un petite visite chez le comptable de temps en temps pour éclaircir certains points et transmettre les premières pièces comptables. Il faut compter entre 30 minutes et une heure par mois de travail supplémentaire par rapport à un salarié.
  • Coté budget, c’est le bonheur, nous avons fait une augmentation de 50% de nos revenus net. Sans compter les dividendes qui pourront monter à 3 mois de revenus chacun si nous faisons de bonnes années, c’est à dire : si nous n’avons pas d’inter-contrat. Soit un potentiel doublement de salaire. Ça laisse rêveur et j’avoue avoir encore  du mal à y croire.
  • Coté épanouissement personnel, outre le fait de changer de mission après 3 ans chez le même client (ouf!), l’importance de rester « à jour » a pris tout son sens. Fini d’attendre le DIF ou que la DRH daigne accepter la formation de nos rêves. Si nous ne le faisons pas nous même, personne ne viendra le faire à notre place, du coup le temps libre que nous passions à se tourner les pouces, nous le passons dorénavant à nous auto-former : que ce soit en anglais, sur les technologies émergentes ou sur des domaines annexes tel que l’organisation, le management ou l’économie. Au programme : prototypes, livres, logiciels d’anglais, blogs, forums, conférences … En 4 mois j’ai plus progressé en anglais qu’en 10 ans de scolarité et plus appris techniquement qu’en 3 ans de salariat et je peux vraiment dire que cela me rend « heureux ».

La suite ? Toutes les portes sont ouvertes.  Les possibilités d’évolution sont nombreuses. Ce qui est sûr c’est que jamais je ne serai de nouveau salarié. Nous n’hésiterons pas à prendre un mois de « vacances » supplémentaire pour passer des certifications ou à l’inverse, prendre 4 mois de vacances pour faire un tour du monde… ou développer un nouveau produit !

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La vie d’un freelance en dessin https://java-freelance.fr/freelance/la-vie-dun-freelance-en-dessin https://java-freelance.fr/freelance/la-vie-dun-freelance-en-dessin#comments Wed, 24 Jun 2009 06:52:22 +0000 https://java-freelance.fr/?p=70 J’adore les dessins caricaturaux, ils permettent de grossir certaines dérives…

commercial

Voici une excellente initiative d’un freelance : http://www.mavieauboulot.fr/blog

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