Aujourd’hui, je ne peux pas dire que je change de mission “quand je veux” mais au moins je n’ai personne qui viendra me dire “non c’est la crise”. De plus mon choix de mission est potentiellement plus large, je peux travailler avec toutes les SSII, tous les clients finaux.
En contre partie, en cas de litige avec un client, rien ne rentre… c’est le risque et on doit vivre avec ça. Tu as travaillé dans les assurances, tu dois savoir que le risque, ça se calcul, ça se prépare. On a longtemps prit le temps de tester le marché avant de se lancer en pleine crise. A présent on prépare le futur, en épargnant tout simplement. Ce qui permet d’être serein et de se concentrer sur l’essentiel.
L’épargne est presque obligatoire, difficile d’emprunter, les banques te considère comme un précaire (au moins les 3 premières années). Le truc c’est d’emprunter avant de changer de statut.
Concernant les impôts, ça vaut toujours mieux de gagner plus.. Et puis il existe beaucoup de façon de défiscaliser… Intérêt d’emprunt, loi scellier, travaux d’isolation, aide à domicile, prise de capital (quand on mets 1000€ dans une société, on récupère 250€ de crédit d’impôts…). Je préfère avoir ce genre problème.
On peut aussi trouver son compte à rester salarié. Chacun fait ce qu’il veux, en tout cas, si tu en as l’envie, n’hésite pas, il n’y a rien de compliqué.
Je referai un bilan quand j’aurai changé de mission, peut être serai-je moins optimiste ! On verra.
]]>Sinon, je suis curieux de savoir la différence que cela fait par rapport en SSII au jour le jour. Sur le fait de devoir se vendre soit même, de ne plus avoir de commerciaux, de ne plus appartenir à une entreprise (même si en SSII, cela ne veut pas forcemment dire grand chose).
Autre question, l’augmentation de revenu ne va-t-elle pas être sabordée par les impots?
Bon courage et bravo d’avoir franchi le pas (ce qui n’est toujours pas prévu pour moi dans l’immédiat )
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